Modèles économiques, producteurs, consommateurs vous avez le choix
Au delà de l'indignation, de la compassion que suscite le cas d'Olivier B et d'autre viticulteurs en difficulté, il faut se poser la question de la commercialisation, de la rentabilité de chaque démarche, beaucoup se précipite sur les salons de particuliers pour vendre 1 ou 2 palettes au mieux (600 à 1200 bouteilles) pour plus de 1500 euro de frais, certains restaurent un caveau de dégustation qui n'est jamais ouvert faute de temps ... Il n'existe pas de bon ou mauvais modèles de commercialisation, simplement des modèles adaptés à un contexte. Ceux qui me connaisse savent bien que je suis plutôt de sensibilité libérale, voir libertaire et je fais confiance dans les mécanismes du marché, d'autorégulation et ce n'est pas dans les aides, les subventions que l'on trouvera la salut. Si certain veulent aider les producteurs (vigneron et autre) alors il faut éliminer les intermédiaires, redescendre la marge (je parle de marge et pas de chiffre d'affaire, ca
Je pense qu'il faut transmettre cette info à ceux qui ne sont pas convaincus des bienfaits du vin !!!
RépondreSupprimerA bientôt
Philippe KAZEK
("Un Vigneron A La Maison")
Ben alors qu'est ce qu'ils foutaient à la table de tri ;-)
RépondreSupprimeroh il est beau! il a pris la couleur du vin!
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